Le concept.

Le principe serait d’écrire 4 minis romans et de les mettre dans un seul livre.

« Serait » parce qu’il n’est pas dit que ça fonctionne comme cela. Quand j’écris, les idées viennent sans prévenir et parfois ça part en sucette, je m’enflamme, je dérive et je ressors avec une première épreuve de 150 pages !

Les 4 histoires que je travaille sont toutes différentes tout en abordant un point commun : la causalité.

La causalité et tout ce qui s’ensuit, tout ce qui peut graviter autour. Le principe de l’action/réaction est alors juxtaposé à la théorie du chaos ou l’effet papillon.

Sans rentrer dans le détail de ces phénomènes hypercomplexes, j’expose dans ces récits des réflexions sur les choses atroces qui peuvent nous tomber dessus à n’importe quel moment.

Chaque action de mes personnages entraîne une réaction de et dans l’histoire.

Que peut-il alors se passer lorsqu’on ne maîtrise plus rien ? Jusqu’où peut-on aller ? Jusqu’où les choses peuvent-elles nous pousser ?

Les récits sont commencés, deux d’entre eux sont en phase de relecture et réécriture. Un troisième est en écriture actuellement. L’idée pour le quatrième récit est implantée profondément de mon esprit.

J’ai décidé de me fixer une règle : entre 60 et 80 pages A4 pour chaque récit.

Lorsque j’ai eu terminé Le Fils Prodigue, je l’ai refilé à David Champclos – sorte de cobaye involontaire (dans le sens qu’il n’a rien demandé mais se retrouve tout de même propulsé à ce poste). Ces premières critiques m’ont alors amené à envisager de faire claquer cette règle de limitation de pages. Encore une fois, le récit vaudra pour ce qu’il est et non pour des règles pré-établies.

Il y aura toujours 4 minis romans mais si l’un d’eux doit faire 20 pages et un autre 100, il en sera ainsi.